Good Morning Baltimore
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 Enfin de l'action! Malheureusement... [PV Austrella]

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Julian Mayers

Julian Mayers


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MessageSujet: Enfin de l'action! Malheureusement... [PV Austrella]   Enfin de l'action! Malheureusement... [PV Austrella] EmptyMer 29 Juil - 14:36

    Voici une nouvelle journée qui commençait en s'annonçant sublime dans cette merveilleuse ville qu'est Baltimore et ou il y règne la paix. En fait, non ! Cette journée avait mal commencé comme toutes les autres dans cette ville qu'est nommé Baltimore. De plus, nos lecteurs savent éperdument que la ville est divisée en deux clans qui se font la guerre et non la paix, ce que monsieur Mayers ignorait. Pour une énième fois Julian se retrouvait à tout gérer dans le Senator Theater. Selon le patron, c'était l'avantage d'avoir un « adjoint ». Pour Julian quand ce mot sortait de la bouche de son patron, cela voulait plutôt dire : quel merveilleux avantage d'avoir quelqu'un qui peut tout faire à notre place ! Tout employer qui se respecte parle dans le dos de son supérieur. Comme la plupart de tous les autres employer boutonneux qu'engageait la place, ils trouvaient que le patron était un pure imbécile. Certains ont comme raison le refus d'un congé ou un simple malentendu. Julian trouvait, quant à lui, que ce n'était pas une cent watts, car le nom de la place était pitoyable. En fin de compte, les deux s'agençaient bien xD C'est quoi l'idée de nommer son cinéma comme un théâtre ? Tout le monde devait s'y méprendre et cela devait être la raison de la chute du pourcentage de client.

    Revenons à cette superbe journée ennuyante ^^ Julian traînais dans les allées du « théâtre » en espérant ne pas se faire interpellé par quiconque. Il pensait à un peu n'importe quoi. Il tentait quand même de fixer ses pensées sur le pourcentage de client mensuel. Il se posait de grosses questions sur de marketing. Pendant la journée, il avait fait plusieurs choses qu'il trouvait totalement ennuyant. Dont le fait d'engager de nouvelles personnes. Désoler, donner son point de vue sur les personnes choisies. Il avait surtout eux beaucoup de paperasse à remplir, une activité primer par le patron. Primer dans le sens qu'il donne tout à faire à son employer, car il déteste cela. Vous avez donc remarqué, qu'il s'agissait d'un patron chiant, mais il n'était pas malhonnête ni un hypocrite de la pire race. La raison du pourquoi aucune relation amicale ne serait possible entre les deux xD La deuxième raison de cette promenade était une évaluation. La crise économique ne permet évidemment pas une tonne de sortie. Cependant, depuis une période de temps, les chiffres dégringolaient d'une manière alarmante. Était ce dût à un service rendu au client mauvais ou l'ambiance ? C'était toute une question qui méritait beaucoup de réflexion dans un endroit calme... Mais pour le moment, il était au casse-croûte de la place qui était achalandé dû au prochain visionnement du film de l'été qui commencerait sous peu.

    Vers les salles, aux entrées plus précisément, les jeunes se précipitaient à reprendre leurs tâches qu'ils avaient abandonnées pour bavarder. À la vue d'un supérieur dans les environs, ils commencèrent à s'activer faisaient paraître l'amour qu'ils mettaient à pratiquer cet emploi à temps partiel. Il se mit à inspecter les environs dans le but de faire peur à ces pauvres jeunes. Dans son petit moment de plaisir, il se fit accosté par un « semi gérant » comme il les appelait. Celui-ci vient d'un enrager. Malgré tout Mister Mayers. Tournât la tête pour faire semblant de ne pas le voir, mais en croisant son regard, il comprit rapidement. Il devait régler ce problème, car même son faux gérant ne pouvait pas le faire par lui-même sans avoir un accès de rage indéterminé. Il fit une moue qui fit comprendre à son interlocuteur qu'il s'en occupait. À cette réponse muette, le jeune homme qui paraissait bien malgré son côté ghetto. Julian hocha plusieurs fois de la tête sans donner l'impression d'écouter. Le faux gérant devait être habitué à ce genre de réaction de la part du jeune homme. Par la suite, il lui pointa une jeune femme aux cheveux bruns clair qui s'engueulait avec le portier. Après avoir roulé des yeux et pousser un soupir, des réactions faites d'une manière très évidente à l'oeil nu, il se dirigea vers l'endroit indiqué.

    En arrivant en face de la jeune femme, il sourit professionnellement, mais on y découvrait de la fatigue ou une très grande dose de désintérêt. Il fit signe de la main droite au gérant pour qu'il s'avance et prenne la place du portier avec lequel, il devait régler un problème tout à fait stupide. L'histoire qui lui fut racontée consistait à une insulte faite de la part du portier à la jeune femme. Il l'avait insulté sur son gang. À cet mention, Julian ne comprit pas, mais son gérant continuant disant qu'il s'agissait de la faute de la jeune femme. La faute consistait à ... ? Son interlocuteur dit que s'était évident et n'en ajoutât pas plus sur le sujet. Il dit qu'il ne pouvait régler ce conflit, car la jeune femme l'avait insulté à la suite et qu'elle le mettait en colère que par ses gestes. Par contre, pour que Julian garde une bonne opinion de lui ou parce qu'il savait qu'il aurait des évaluations, il dit qu'il avait été très gentil avec elle, mais encore une fois c'était la cliente qui ... Blablablabla....

    Il se retirât avec la jeune femme et le portier qui ne paraissait pas de très bonne humeur ce qui n'était pas de bon augure pour des explications. Il fit signe de la main sans avoir dit encore un mot au portier pour qu'il lui explique le contexte de ses propres mots. Cette fois-ci, Julian donnât l'impression d'écouter les propos de l'adolescent. Ce fut court et il résuma en une phrase ce qu'avait dit l'autre en un long paragraphe. Cependant, c'était la jeune femme qui l'avait insulté dès le départ. En lui disant : « Bon à rien, retourne dans ton cartier pourris avec tes semblables ! », car il s'était trompé dans ses mots et reprit par la suite. Il lui fit signe de partir encore une fois d'un geste de la main. Il se tournât vers la jeune femme sans sourire avec un air presque neutre. Il soupira avant de formuler quelques phrases.

    - Bon ! C'est la deuxième version que j'entends. Cependant, la vôtre sera première que je vais écouter.

    Dit-il avec un air qui ne faisait pas croire à ses mots. On pouvait facilement comprendre qu'il voulait en finir avec cette histoire au plus vite. Il jeta un regard aux alentour et il roula des yeux. Monsieur Le-faux-gérant écoutait et voyait la scène à quelques pas des deux jeunes gens. Julian roula des yeux lorsqu'il fut tourné donc la cliente ne pu s'apercevoir de cette réaction. Ceci n'était qu'une pause, lorsqu'il fut retourné, il retint un soupire et sourit à la mademoiselle gentiment.

    - Si vous voulez nous pouvons aller dans un bureau pour discuter de cela tranquillement et de cette manière, je vais pouvoir faire de mon mieux pour régler ce malheureux incident.

    Cette fois, la cliente pouvait croire à de la bonne volonté de la part de son interlocuteur. Son ton était très respectueux ne voulant pas à son tour se faire insulter pour une question de gang stupide xD Il montra la direction avec sa main à la jeune femme de la même manière que le faisait un gentilhomme dans le temps du roi soleil. Ce n'était pas utilisé dans le même contexte, mais le vouvoiement était autant de mise xD La chose que voulait, surtout, Julian était de pouvoir sortir avant la fermeture au minimum et que l'entretien se passe bien. Si pour cela, il devait être le plus respectueux mec du monde, il tenterait le coup ^^ Contrairement à un vrai mec respectueux, à la première insulte, il en finirait pour de bon avec la politesse dans le cas de mademoiselle.
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Austrella V. Parker
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MessageSujet: Re: Enfin de l'action! Malheureusement... [PV Austrella]   Enfin de l'action! Malheureusement... [PV Austrella] EmptyDim 30 Aoû - 15:11

    Les rideaux tirés, enfermé entres quatre murs, je ne pouvais décemment pas voir le ciel bleu qui se tramait dehors, je n’en avais pas envie. Une nouvelle journée commençait, il était dix heures du matin, le soleil se glissait à travers la fenêtre pour me réveiller d’un profond sommeil. Contrairement aux autres personnes riches, je ne me levais pas à midi, parce que je n’avais pas la gueule de bois, parce que je ne buvais pas – ou plus. Je savais éperdument qu’à cette heure, tous les riches de Baltimore dormaient dans leurs draps de soie. Moi aussi, je dormais dans ses beaux draps de soie bleue, mais je ne pouvais pas me permettre de me lever aussi tard. J’essayais d’être normale. Et c’était plus compliqué que je n’aurai pu l’imaginer. Avoir un travail faisait de moi quelqu’un de normalement constituer ? Non, parce que j’étais – jusqu’à présent – incapable de garder un job plus d’une semaine. Le job que j’avais réussit à me procurer par je ne sais quel hasard, me correspondait bien, enfin, il correspondait à mon « moi d’avant », je bossais dans une boîte de nuit huppé de Baltimore, le Dancing Hall, j’y retrouvais souvent quelques amies d’ailleurs, mais je ne savais pas encore jusqu’à quand ça allait durer. Dans le fond, garder cet emploi serait une façon de me prouver à moi-même que je suis capable de ne plus boire d’alcool, mais j’ai peur de se qui peut advenir si je craque, peur qu’un jour où l’autre je ne puisse plus me contrôler. Je refusais de retourner dans l’enfer qui m’avait été donné de vivre, je voulais tourner la page. Repensant à tout ça, je me décidais à me lever, un peu trop brusquement j’étais sur pied, ma tête tourna quelque peu, je fis quelques pas dans ma chambre avant de me diriger vers la salle de bain d’un pas sûr. La douche chaude me fit un bien fou. Comme tous les matins, mon petit déjeuner était prêt, pourtant je ne m’y attardais jamais longtemps dessus.

    Vêtu banalement d’une jupe en jean avec des bottes à talon et un simple t-shirt, je passais en revue tout ce que j’étais censée faire aujourd’hui. Toutes ses choses inutiles et futiles qui m’apportaient peu, mais que je voulais faire comme tout le monde. J’étais riche, jeune, belle, j’avais tout pour être heureuse et pourtant j’étais incapable de l’être. Quand tout à commencer, quand ma chute à commencer, je me suis identifiée à Hell de Lolita Pille, parce que j’étais comme elle, je continuais à m’enfoncer et chaque jour un peu plus, je faisais des choses dont je n’avais pas besoin mais qui m’aidaient à continuer à vivre. J’étais stupide et puis, j’ai changé. J’ai aidé Katherine, je l’ai soutenu autant que je le pouvais, on avait eu toutes les deux notre lot de malheur cette année, alors je l’ai rejoint, dans cette pseudo-guerre. Ça aussi c’était stupide, mais je devais la soutenir, c’était ma meilleure amie. Aujourd’hui encore tout va plus vite, les conflits se multiplient, ça ne s’arrêtera sans doute jamais. Le vent me fait frissonner, je prends alors la veste que j’ai mise dans mon sac pour me couvrir avec. La journée promet d’être longue. Je m’arrête machinalement dans un Starbuck dans lequel j’achète toujours mon mokaccino. Je continue d’avancer j’observe avec les yeux vides les passants, certains me dévisagent et d’autres m’ignore. J’ai une soudaine envie d’aller au cinéma, chose que je fais rarement, habituellement quand un film me plaît je fais en sorte d’être invitée à la première, mais en ce moment, les bons films manquent à l’appel. Je me dirige vers le Carmen Yards, le quartier où je vais surement le moins souvent, petit, et pas très fréquenter par les gens comme moi. Néanmoins, je m’y dirige, si je croise quelqu’un qui me fait une réflexion, il risque de s’en prendre une. D’une démarche assurée, je prends un taxi, et demande l’itinéraire pour aller au cinéma le plus proche. Il me dévisage un instant de la tête au pied avant s’acquiescer d’un mouvement de tête.

    Arrivée devant l’entrée du « Senator Theatre », je me demande à nouveau pourquoi je suis ici. Je me dirige vers le cinéma – bizarrement nommé Theatre – d’une démarche assurée. Certaines personnes me dévisagent – en faite non – ils me dévisagent tous. Ils n’ont surement pas l’habitude de voir des bottes en vrai daim ou bien, ils sont tous simplement en admiration, à vrai dire, je l’ignore – ou plutôt je les ignore. J’aperçois un portier qui lui aussi me dévisagent, plutôt jeune, ridicule dans ses vêtements qui lui sont sans doute trop petit, mais je fais quand même un effort avec un sourire quelque peu forcé. Il reste là. Il ne bouge pas, il est censée ouvrir la porte, et pourtant il ne fait rien, il me fixe. Je le dévisage alors, en l’imitant quelque peu grossièrement en lui faisant signe de m’ouvrir la porte mais il refuse en m’insultant sur le faite que je ne devrais pas être ici étant riche, que je devrais avoir un salon privé – c’est le cas – et si je ne voulais pas avoir des problèmes, il faudrait que je parte vite fait d’ici, en rajoutant un très cher « garce » à la fin de sa phrase.

      ASTRE – « Ferme là et ouvre la porte ? C’est ton job, non ? En réalité tu n’es qu’un bon à rien, retourne dans ton quartier pourris avec tes semblables ! »

    Bon, j’y ai peut-être été un peu fort. Quelques personnes se dirigent vers nous, et lui, il ne dit rien. Je pourrais le frapper qu’il ne réagirait même pas. Ce que les gens comme ça, m’exaspèrent ! Un homme plutôt grand s’approche de nous, il me somme de me calmer mais je m’emporte encore plus que prévu, et le portier se décide enfin à ouvrir la bouche et à protester en disant que c’est moi qui ait commencé – on se croirait à la maternelle – je ferai mieux de partir, sinon les problèmes vont arriver. L’homme finit par en avoir marre de mes paroles, il s’éloigne, pour qu’un autre vienne prendre sa place, plus petit celui là, plutôt mignon, il me fait un vague sourire un peu trop forcé – à mon gout. Il nous prend à part, et le portier lui explique ce que j’ai dis, et ce que j’ai fais et blablabla. Je me mets à bailler avant de tourner la tête vers le jeune homme, il n’a pas l’air de s’en soucier beaucoup lui aussi. Il fit signe au portier de partir.

      HOMME – « Bon ! C'est la deuxième version que j'entends. Cependant, la vôtre sera première que je vais écouter. (il marqua une pause en observant du coin de l’œil ce qui devait être le gérant ou son supérieur) Si vous voulez nous pouvons aller dans un bureau pour discuter de cela tranquillement et de cette manière, je vais pouvoir faire de mon mieux pour régler ce malheureux incident. »

    Un sourire se traça sur mes lèvres, il me montra la direction à prendre et par conséquent je le suivis jusqu’à son bureau. Je n’ai pas grand-chose à dire, mais bon. Je m’installe sur une des chaises – sans doute prévue pour les clients – et lui fait un sourire, l’observant du coin de l’œil il s’installa dans un siège pendant que je m’attardais sur la déco basique du bureau. Avant qu’il ne puisse prononcer un mot, je pris la parole.

      ASTRE – « N’essayez pas de comprendre le pourquoi du comment. Vous ne devez surement pas suivre tout ce qui peut se passer à Baltimore, n’est-ce pas ? Enfin, ce gosse n’a pas fait son travail, et il n’y a rien d’autre à dire. »
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Julian Mayers

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MessageSujet: Re: Enfin de l'action! Malheureusement... [PV Austrella]   Enfin de l'action! Malheureusement... [PV Austrella] EmptyJeu 3 Sep - 23:52

    Julian s'assit au bureau. Heureusement, il avait fait le ménage de son bureau récemment. Il n'y avait que deux crayons à l'encre dans un porte-crayon et le bel écran d'ordinateur. Il fut soulagé à cette vue du bureau. Non, pas parce qu'il ne s'était pas fait voler ses crayons. On n'est en plein ghetto de Baltimore, il est normal de penser ce genre de choses xD Personne n'oserait toucher à le moindre papier qui lui appartenait, car il avait clairement indiqué qu'il mordait xD Certains patrons ne voulaient pas donner cette impression et se voulait gentil. Julian avait montré un côté gentil au début de sa phrase. À la fin, il l'avait dit et tous les employés furent surpris, mais avisé. Il fut soulagé d'avoir fait du ménage. En fait, c'était du rangement. Il avait mis tous les papiers dans le grand classeur qui était adossé au mur dans le tiroir qui était presque fermé. Il jeta un coup d'oeil rapide à celui-ci. Il devrait mettre une note pour avertir de ne pas toucher au classeur à risque d'une explosion de papier. Est-ce qu'il y avait les formulaires de plaintes dedans ? Ouupppsss...

    Il se tournât vers la jeune femme. Elle regardait la décoration. C'était très sobre. Les murs étaient blancs ou du moins l'avaient été... Il avait une plante verte proche de la fenêtre, elle n'était pas encore morte, mais elle n'en menait pas large. Il y avait quelques mots inscrits sur un bout de papier qui n'avait toujours pas été enlevé sur une des tiges. Ce qui indiquait qu'il s'agissait d'un cadeau. Il y avait ensuite le massif bureau foncé de bois. Ou du faux, c'est à vérifier. On pouvait aller derrière celui-ci par la droite ou la gauche. Un était plus étroit, car il avait les classeurs, la bombe. XD Derrière le bureau, il avait, évidemment, une chaise à haut dossier. En face de celle-ci deux autres avec des dossiers moins hauts. Il était clair que c'était pensé contrairement aux murs. Il avait de belles toiles plutôt normales. C'était des reproductions ou des toiles imprimer pour la décoration que n'importe qui pouvait se procurer au Ikea pour améliorer l'ambiance d'une pièce.

    Il se disait que la télépathie était un domaine qu'il connaissait trop peu. Allait-elle faire une plainte ? Ils étaient tout deux assis, il devait parler. Elle ouvrit la bouche la première. Au début, il voulut se cogner la tête se demandant quelle stratégie pourrait-il utiliser pour éviter les papiers de plaintes. Ensuite, il fut soulagé d'entendre qu'elle n'en voulait pas faire de plaintes. En fait, elle ne voulait pas discuter de la situation. Ça revient au même ? Il se demanda pourquoi l'avait-elle suivi jusqu'au bureau si ce n'était pas pour remplir des papiers. Elle avait bien raison, il pouvait tout dire sur un meurtre qui s'était produit dans le Bronx. Cependant, absolument rien dire dans l'article du journal local sur le plus gros scandale que Baltimore n'avait jamais vécu xD

    C'était à son tour de parler. Non, il ne suivait pas toute l'actualité de la ville. Ce n'était pas une raison pour s'empêcher de virer un employé ! XD Il était curieux. Il voulait savoir la raison de cette dispute. Cette situation impliquait deux employés. Il ne pouvait pas passer par-dessus sans rien dire. Encore là, si c'était une question d'actualité, la situation se reproduirait inévitablement. Valait mieux mettre fin à ce cercle vicieux dès la racine ! XD Il finit par sourire pour de vrai ce qui était à peu près en même temps que la fin du commentaire de son interlocutrice. Les papiers étaient dans le deuxième tiroir de son bureau ! Ça ne rentrait plus, il avait donc du changer l'emplacement de ce type de documents. Il se trouvât bête un instant de ne pas s'en être rappelé.

    Plusieurs choix se proposaient à Mayers. Il pouvait tout ignorer et laisser passer. Tenter de faire remplir une plainte. Finir l'entretien. Renvoyer le portier. La première option était déjà éliminée, mais elle restait dans l'univers des possibles. S'il réussissait à faire remplir une plainte à la brunette en face de lui. Il pourrait savoir le sujet et étancher sa soif de curiosité. En plus, il aurait une raison considérable pour renvoyer le portier. Il ne lui avait rien fait, mais c'était toujours un plaisir de renvoyer des gens qui n'étaient pas très important. Il ne se ferait pas une joie de renvoyer une personne qu'il apprécie et qui est assez haute dans l'échelle. Finir l'entretien était une solution potable, mais qui n'était pas suffisante. Si sa cliente l'obligeait, il irait renvoyer le jeune homme. Cependant, c'était à considérer au cours de la conversation et non au début. Il ne lui restait plus qu'à répondre. Il devrait de manière subtile en avançant l'idée de faire une plainte découvrir l'objet du conflit.

    - Vous avez bien raison je ne suis pas vraiment l'actualité.

    Dit-il d'un ton humble toujours avec son sourire amusé d'avoir découvert l'emplacement des documents. Ensuite, il devait enchaîner avec la politique de la place. Ce que faisait tout bon gérant, employer propriétaire, etc. Il devait dire qu'elle était la reine. Une reine plutôt jeune sans expérience. Elle osait traiter le portier de « gosse » quand elle s'embarquait dans des histories stupides. Ce n'est pas très bon pour une reine, elle va passer à l'échafaud comme la famille du Tsar ! XD Elle ne paraissait pas beaucoup plus âgée que le portier, mais beaucoup plus fortunée. Il reprit immédiatement. Ce n'est pas réellement deux commentaires xD

    - Je tiens à ce que mes employés offre le meilleur service possible à nos clients. Si quelque chose vous a offensé, je me fais un devoir d'en savoir la raison pour y remédier le plus rapidement possible.

    Dit-il toujours aussi poliment que le peu de commentaire qu'il avait dit précédemment. Ce n'était pas vraiment ses employés, mais elle ne savait pas xD Il était vrai qu'il tenait à offrir un bon service et qu'il trouverait une solution rapidement pour une situation. Ce qu'il disait, il le pensait. C'était son travail, il devait s'y appliquer. Il n'était pas une personne qui remettait tout au lendemain. En ce qui concerne sa vie professionnelle... Par contre, tout cela se sentait peu dans son propos. De la façon dont il parlait, on hésitait à croire qu'il règlerait sérieusement le problème. Il donnait une apparence neutre, mais froide. Vers la fin, on s'approchait du printemps. Des caraïbes, c'est encore mieux xD Cependant, un pouvait légèrement croire avec des cours de psychologie très avancé qu'il tenait à son travail. XD

    Une ampoule s'alluma au-dessus de sa tête. Il n'y a pas très longtemps en passant devant le meuble à l'avant qui est réservé à exposer le recyclage sous toutes ses formes, le présentoir à papier, il avait aperçu un titre dans un de journal. S'il se rappelait bien, l'article parlait des équipes de l'équipe junior majeur d'un sport quelconque. Il y avait deux équipes dans les environs et il avait fait un match. Une équipe avait perdu et des citoyens étaient frustrés. Autrement dit, c'était une journée ennuyante pour les journalistes. Un vox pop était la solution pour remplir la couverture. Il prit une pause, il venait de faire son quota. Il hésitât à dire cela. Il s'y risquât tout de même.

    - Peu importe si la question est à propos d'un match perdu par votre équipe fétiche.

    Il n'aurait pas dû. Mais le pauvre, il ne pouvait pas savoir xD Il savait le ridicule d'ajouter une telle phrase. Car, elle pouvait ne pas être une accroc au sport. Ne pas être le genre de personne qui écoute un match de hockey avec des ailes de poulets extra fortes. Il dit cela un peu comme une proposition en l'air sans y avoir pensé longuement. C'était le contraire, il avait dû penser à la manière de dire cela pour éviter beaucoup de dégâts. Il souriait et avait l'air plus amical pour ce commentaire. Vers la fin, il riait un peu en attendant le supplice. Dans un cas où la jeune femme prend vraiment à coeur les rencontres de son équipe, il serait foutu. Il finirait par la mettre en colère sans le vouloir. Sinon et bien monsieur aurait l'air stupide ! XD À la suite, il se dit qu'il aurait dû être plus sérieux...
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